Vous vous êtes toujours demandé s'il était judicieux d'«aimer» une publication triste d'un de vos amis? Zuckerberg vous a entendus et propose maintenant le test d'une fonction «Je n'aime pas».

Ça fait longtemps que les utilisateurs le demandent, ce fameux bouton. Or, Zuckerberg ne veut pas lui donner une résonance méprisante, ce qui aurait comme conséquence de limiter les publications sur son réseau. Selon lui, les utilisateurs (et évidemment les compagnies qui lui amènent ses profits) pourraient se censurer sur Facebook par peur d'obtenir une mention défavorable.

Ainsi, le fondateur de Faceook veut simplement créer un bouton qui permettrait d'exprimer une autre émotion que celle d'aimer.  «Tous les moments ne sont pas de bons moments», a-t-il expliqué hier à Menlo Park, lors d'une session de questions et réponses au QG de l'entreprise.

C'est donc dire qu'on n'assistera fort probablement pas à la même dichotomie «pouce en haut / pouce en bas» qu'on retrouve sur Youtube, par exemple.

Questionné à savoir quelle forme prendra cette nouvelle fonctionnalité, Zuckerberg s'est montré très vague.