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La Fête: on la fait à achaque jour

Ça y est, l’été est bel et bien arrivé: la télé joue des vieilles reprises de Symphorien, les terrasses sont pleines et les jupes raccourcissent. Ah, les bons vieux clichés de la saison estivale. Histoire de poursuivre dans cet élan d’originalité, NIGHTLIFE a rencontré Émilie Brunet, créatrice de La Fête, pour lui proposer une entrevue thématique PARTYYYYY!

Ta ligne s’appelle La Fête Montréal; est-ce qu’il faut en déduire que ce sont des vêtements pour faire la fête, à Montréal, ou y a-t-il une explication plus subtile pour le choix de ton label?
Il faut en déduire que Montréal, c’est la fête. Le nom fait référence à un état d’esprit de fun, à l’importance de ne pas se prendre trop au sérieux et d’avoir assez de détachement pour oser. La Fête, c’est bien le jour comme le soir.

Comment décrirais-tu ton style?
Edgy, un peu garçon manqué, élégant, avec de l’humour. On m’a déjà dite «artsy» et j’aime bien ça. Ma prochaine collection pour l’automne est un peu bipolaire.

L’accessoire killer pour faire une entrée remarquée dans un party?
Quelque chose d’inattendu, d’inapproprié à la limite. Un turban, par exemple. Mais c’est encore mieux quand c’est à la fois inapproprié et subtil.

Une soirée mémorable ne se termine jamais sans
Perdre quelque chose, mes clés normalement.

Ton remède contre les lendemains de veille?
Des fois je me réveille, je bois plein de jus d’orange et je me recouche. Après, ça va mieux.

La terrasse où tu prévois élire domicile pour trinquer?
Ma terrasse. Et la terrasse de la Buvette (Chez Simone).

À part boire, tes plans pour l’été?
Passer le plus de temps possible à l’autodrome de St-Eustache. Et les soirées Frenche ou Meurs en association avec La Fête.

lafetemontreal.com | en vente au mtldesigners.com

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