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Le Dirt: si j’étais Ke$ha

Si j’étais Ke$ha, avant toute chose, je prendrais une douche. Et je mangerais un kiwi, ou un fruit avec j’sais pas moi, de la riboflavine. Quelque chose me dit que je suis gravement carencée.

Ça ira surement mieux pour méditer sur ma vie d’avoir autre chose que du Jack et du jizz dans le corps. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas quand une semaine typique ressemble à ceci;

Lundi:
me réveiller les yeux collés dans par un flluide non-identifié, boire du mousseux à même la bouteille dans une limo avec mes pétasses et faker de profaner le signe d’Hollywood.

Mardi: vomir dans le garde-robe de Paris Hilton durant The Simple Life.

Mercredi:
trespasser illégalement dans la maison de Prince pour lui donner mon démo, dire que je veux promener Justin Bieber dans une poussette et me vanter de porter mon placenta autour de mon cou pour attirer les bons esprits.

Jeudi: dire à un magazine "I’ve been told that I smell like shrimp in a diaper".

Vendredi:
sucker grave à American Idol, ne pas comprendre d’où viennent les trous dans mes leggings et tweeter que Britney sera une inconnue d’ici dix ans. Look who’s talking.

Samedi: euh… aucune idée, mais me réveiller à sept heures du soir dans un bain de glace à Tijuana, enceinte d’un unijambiste moustachu qui est reparti avec la caravane de son freak show en me laissant une note écrite au marqueur sur mon front qui dit "Sorry for the crabs! Tito xx"

Dimanche: frencher Adam Lambert et me frotter les cuisses dans un vidéo de Katy Perry, qu’il faut d’ailleurs regarder à mute pour en constater tout le ridicule.

Mais bon, mon talent a beau être discutable, j’ai beau être graisseuse, obnoxious, me dessiner la petite soeur toutoune de l’étoile d’Antoine Gratton dans la face, être le PIRE role-model possible pour toute une génération de petites filles à qui je fais l’éloge de se saoûler violemment la gueule, de taponner des garçons maigrelets avec les cheveux sales, de se vomir dans les cheveux et d’en résumé être une sl*t finie, on pourra pas m’enlever que j’ai au moins crée une excellente chanson et que surtout, j’ai délogé Susan Boyle du numéro 1 des palmarès.

Dans ta face, fatso!

 

 

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