Le 281 vient d’avoir trente ans. On dit que la trentaine, c’est la nouvelle vingtaine, et on est porté à le croire en voyant à quel point les garçons de cette institution du centre-ville se déhanchent toujours aussi bien. On a voulu en savoir plus, et on a posé quelques questions au beau Andrew.
Quel est le stéréotype de personnage le plus populaire auprès des femmes, quand tu danses?
Je crois que le pompier et les uniformes ont encore la cote…
Ça crie beaucoup dans le club. T’arrive-t-il de porter des bouchons?
Oui, ça crie énormément, mais je n’ai quand même pas besoin de bouchons…
Y a-t-il des client(e)s qui développent une obsession et te stalkent?
Ça arrive, c’est sûr.
T’arrive-t-il d’avoir une érection en travaillant?
Oui, ça arrive aussi (rires).
Une fois entièrement nu, les clientes les mettent où, leurs billets de 5$?
Elles nous les donnent. Faut pas oublier qu’au 281, c’est sans contact.
Es-tu déjà accidentellement tombé sur quelqu’un que tu connaissais, parmi la clientèle, et si oui, est-ce que ça a provoqué un malaise?
Oui, souvent. Comme les filles de l’école secondaire et primaire… mais elles sont inévitablement plus gênées que moi.