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Puma Grand Prix: Alexandra Marcil

Afin de célébrer le retour du Grand Prix du Canada à Montréal, PUMA et NIGHTLIFE.ca ont demandé à six accros de course automobile de nous dire pourquoi ils sont des plus heureux que le cirque des partys et de la vitesse revienne en ville. Attachez votre ceinture: pour nos six Montréalais, la fièvre de la F1 se vit autant au circuit Gilles-Villeneuve que dans le VIP d’un nightclub du centre-ville ou d’un hôtel du Vieux-Montréal.

 

Alexandra Marcil
Barmaid au Buonanotte | 3518, St-Laurent

 

Si tu étais un pilote, quelle serait la première chose que tu ferais en terminant une course?
Je prendrais une douche et j’irais manger au Buonanotte. On a un gros BBQ cette année sur la terrasse.

La vitesse maximale que tu as atteinte dans les rues de Montréal?
Est-ce que je vais pogner un ticket si je te le dis? J’ai fait du 120 sur Saint-Denis.

Ta voiture sport favorite?
Un Campagna T-Rex.


Si le Grand Prix n’était pas revenu à Montréal, par quoi aurait-on pu le remplacer?

Il fallait qu’il revienne. C’est un classique. L’an passé, même s’il n’y a pas eu de Grand Prix, il y a eu plein de festivités «en mémoire»…


Quelle rue de Montréal devrait-on transformer en piste de course, et pourquoi?

De Maisonneuve, la partie nouvellement pavée. C’est à peu près la seule rue de Montréal où il n’y a pas de nids-de-poule…

Crescent ou Vieux-Montréal?
Saint-Laurent.


Une anecdote croustillante?

On a un client qui a sablé le champagne, une année, et le bouchon est arrivé dans l’oeil d’une des serveuses. Et l’an dernier, pendant le décompte de fin de week-end le dimanche soir, nos patrons ont donné à chaque fille une bouteille de champagne. Au lieu de le boire comme des gens civilisés, nous sommes montées sur le bar et nous avons arrosé tout le monde dans la salle! Le plafond dégouttait. Les clients ont fait la même chose à leur tour. C’était fou!

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