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Critiques CD: Antony and the Johnsons | Swanlights

 On a beau être sensible au travail d’Antony Hegarty, il commençait à devenir un peu lourd, et même à tourner en rond sur The Crying Light (2009). Mais un revirement intéressant s’opère, en as de la métamorphose, Antony était bien sûr appelé à évoluer comme artiste. Que reste-t-il quand la tristesse est expurgée? De la lumière. Sur ce quatrième album, notre hypersensible préféré s’est ouvert: il va au-delà de son drame personnel et s’intéresse à ce qui l’unit à la nature, habille ses chansons de belles orchestrations symphoniques et se permet même un duo avec Björk.

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