Titre vraiment inapproprié pour une bouddhiste d’origine juive, mais bon. Dans ma religion à moi, et pour la plupart des filles (ou disciples de David Usher), le chanteur suinte le mysticisme. Et attention! Plusieurs pistes nous mènent à d’irrévocables liens assez étranges…
Tout d’abord, David Usher a fait apparition dans la vidéo de la sainte Sarah McLachlan, Building a Mystery, qui, vous ne vous en souvenez probablement plus, y parle de Jésus et de Voodoo, de pêchés et de lumière. Bref, «there’s something there».
Et puis le nom, «Usher» ne veut-il pas dire gardien des portes en hébreu lointain? D’où le terme usher au cinéma, vous me direz. Exact.
Finalement, après être artistiquement mort il a bien ressuscité (pour le salut des Hommes) et vous pourrez même le voir en spectacle le 4 mai prochain au Zaricot de Saint-Hyacinthe.
Ça, c’est le salut (not).
En tout cas, tout porte à croire; peut-être pas en David Usher, mais en son charisme très Christ, vous avouerez.