La musique du jeune Californien, anciennement frontman du combo emo-punk From First to Last, est au dubstep ce que le rapcore de Limp Bizkit était au rock, il y a une dizaine d’années: une version gonflée à la testostérone, au volume à la compression, lourdingue et bébête. C’est le réflexe du «toujours plus gros, toujours plus fort» qui finit toujours par être appliqué à tout mouvement (pour invariablement signaler sa mort). Aucune subtilité, aucun travail de texture et plus grave encore, aucun goût. Le dubstep avec un bronzage jaune-orange et des seins en silicone.