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Le Dirt: films plates, roundhouse kicks et gros gothiques
Salut, vous autres!

J’espère que vous avez passé un bon weekend. Pour ma part, il était pas pire jusqu’à il y a une heure quarante trois, où l’époux et moi avons eu la brillante idée d’écouter Filière 13. Eh colisse. Pour vrai, je suis pas certaine que je pourrai ever surmonter l’amertume d’avoir perdu deux précieuses heures de ma jeune vie que je reverrai jamais. Si un jour je cesse d’avoir des cauchemars d’Anik Jean en candy raver qui jouait le love interest (choix de casting aussi pertinent que Luc Senay l’aurait été à la place de Natalie Portman dans Black Swan, sérieux), si l’infâme trame sonore a un jour fini de rejouer dans mes oreilles dans un écho épeurant comme dans les trips d’acide de films, peut-être, dis-je bien peut-être, serai-je capable de faire la paix avec la vie qui a mis sur mon chemin un aussi désagréable film.

J’ai presque plus envie de fourrer Claude Legault, pour vous dire. Vingt ans de lust à la toilette, tout ça à cause de la blonde de l’autre avec son suit de harajuku à deux piasses.

MON DIEU.

Ok passons aux choses sérieuses; du gossip pas pertinent comme on l’aime, parce que rien n’est mieux (à part le Xanax et les Archie Comics) que de rire des autres pour engourdir son cerveau meurtri.

Débutons avec l’immensément awesome numéro d’ouverture du gala des Tony Awards, mettant en vedette le meilleur des meilleurs meilleurs, Neil Patrick Harris. Le sémillant blondinet chante  »It’s not just for gays anymore » en compagnie de toute une brochette (oui, brochette. Je me transforme peu à peu en animatrice d’émission de variétés) de célébrités à travers la star-studded audience. Plein de fameux, OMG! Blâmons le succès de Glee.

C’est très cute, et je trouve, comme l’un des internautes qui a commenté sur la vidéo, qu’on dirait un numéro de Family Guy live. C’est une bonne chose. En prime, Brooke Shields se trompe et on aime ça, quand les gens se trompent. Elle m’attendrit.

 

 

Enfin, puisqu’il reste moins de place parce que j’ai trop chialé au début (imaginez si j’avais pas de limite de mots, on m’aurait comparée à un violeur d’enfants), je vais terminer avec une précision sur le drama entourant le fils gothique de Nicolas Cage, Weston. Je pensais en avoir déjà parlé ici, mais c’était à une autre job finalement, alors histoire courte, le fiston du très crazy Cage aurait roundhouse-kické son entraîneur personnel dans un resto parce que ce dernier le laissait pas commander quelque chose de graisseux et aurait fini interné de force.

Well, tout est vrai, sauf que c’était pas son entraîneur, mais bien l’ancien assistant personnel de Nicolas Cage, réassigné à babysitter son fils sur une dérape, qui se serait fait VanDammer la face par celui que mon idole compare à Emily The Strange sur les hormones de croissance bootlegs.

Et on dira, après ça, que la génétique n’influence pas qui on devient. Ne jamais sous-estimer la puissance du crazy, surtout pas celui de Nicolas Cage!

 

Je vous laisse méditer là-dessus, mes poulets.

 

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