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Critiques CD: Felix Cartal | Different Faces

After showing great promise (and taste) on his debut LP Popular Music (read our glowing review here), and collecting industry kudos from the likes of Diplo and Benny Benassi, Vancouver-bred house sensation Felix Cartal fails to live up to sophomore expectations on this second outing for Steve Aoki’s Dim Mak imprint. Cartal branches out beyond his debut’s electro-house bent, but the result is a succession of predictable builds and drops, a flurry of ailing basslines and subdued piano parts that never rise above the formulaic. To make matters worse, Cartal tops off many tracks with run-of-the-mill female vocalists (the generic “City of Love” and “Don’t Turn on the Lights”). This is EDM in the embryonic stages of Alzheimer’s, where there’s little to keep the mind going as the body coasts into autopilot on the dancefloor. Thankfully, there are a few redeeming tracks – the pounding electro-house banger “Triple Deke” and the darkly emotive melody driving “Life is a Sinewave” – that remind us this guy’s got serious talent. May 5th at La Mouche.

Critiques CD: Bear in Heaven | I Love You, It’s Cool

Le nom du groupe fait dur, le titre de son nouvel album est moche et que dire de cette pochette… Décidément, le trio brooklynois a beaucoup de choses qui jouent contre lui. Comme si ce n’était pas assez, son électro-pop atmosphérique semble totalement anonyme lorsqu’écouté en musique de fond. Mais comme c’est souvent le cas avec la musique champ gauche, l’écoute attentive et soutenue s’avère plus gratifiante. I Love You, It’s Cool est un album d’humeur et d’ambiance tout à fait invitant lorsqu’écouté à fort volume. Les mélodies du leader et chanteur à la voix sensible John Philpot sont sinueuses et erratiques, mais couplées aux couches de claviers brumeux qui traversent l’opus, elles induisent un agréable sentiment de nostalgie et de langueur qui compense largement pour l’absence de chansons marquantes. Départi de ses penchants rock d’antan, Bear in Heaven s’avère beaucoup plus efficace dans ce croisement entre la pop radiophonique de la fin des années 80, style Spandau Ballet ou Johnny Hates Jazz, et de synth-pop bourdonnant. I Love You, It’s Cool vaut la peine de prendre le temps d’être apprivoisé. Le 4 mai à la Sala Rossa.

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