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Entretien éclair avec Louis-José Houde, adepte de la Coupe Rogers et de Serena

Louis-José Houde est cette année porte-parole de la Coupe Rogers. Ni joueur de tennis spécialiste, ni fin connaisseur de la chose, il se décrit comme un appréciateur hors-pair de ce sport dans lequel (pour éviter les clichés) cris, balles et vêtements Nike bleu poudre virevoltent à l’unisson. Rencontre métaphysique de deux minutes avec l’humoriste à la sortie d’un escalier roulant du Queen Elizabeth, lors du Défilé des joueuses.

Venus ou Serena?
Serena.

Pourquoi?
L’attitude. Elle a un côté plus warrior. Elle en donne.

Le plus gros avantage d’être porte-parole de la Coupe Rogers?
Assister aux matchs. Je suis un amateur de tennis, j’ai toujours joué un petit peu. Mais c’est surtout que l’an dernier j’ai joué une série de matchs assez intenses avec (l’humoriste) Philippe Bond et j’ai perdu sans arrêt, donc j’étais frustré. Puis ils m’ont demandé d’être porte parole de la Coupe: c’est un peu une sorte de vengeance, et ça me permettra peut-être de m’améliorer pour enfin battre Philippe.

C’est quoi ton cri de tennis?
Je n’ai pas de cri quand je frappe. C’est quand je manque une balle: c’est un début de blasphème que je ne termine jamais parce que je trouve que c’est pas beau blasphémer sur le court.

As-tu une joke de tennis?
Pas vraiment. J’en parle un peu dans un numéro que j’ai, mais c’est plus le genre de truc qui me vient spontanément.

Si tu pouvais rencontrer n’importe quel joueur de tennis, ce serait qui?
J’ai même pas encore rencontré Aleksandra Wozniak, mais j’ai déjà hâte.

 

Coupe Rogers
Jusqu'au 13 août | Stade Uniprix 
rogerscup.com

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