Un chansonnier triste qui fait du folk minimaliste à la Cohen, surtout quand c’est bien fait, ça ne se refuse pas. L’influence du grand Leonard est d’ailleurs palpable tout au long de ce EP. Reste à savoir s’il aura assez de talent pour faire évoluer son écriture, parfois un peu raide, et pour créer d’autres pièces à la hauteur de ce qu’il nous fait voir avec la chanson-titre, par exemple, qui est un haut point de ce EP de cinq pièces. Si on prend son Tumblr en gage, le new-yorkais n’a certainement pas fini d’écrire…