Le Montréal gastronomique est en constante effervescence: des restaurants ouvrent toutes les semaines! C’est pour ça qu’on aime y vivre, mais cette ébullition est à double tranchant. Il y a tellement de choix qu’on n’arrive plus à distinguer le nouveau, du vieux, et le bon, du mauvais. Afin de faciliter votre recherche d’un établissement où vous sustenter, NIGHTLIFE répertorie les dernières critiques culinaires publiées sur son site. Voici donc 21 nouveaux restaurants qui méritent le détour. De la cuisine japonaise jusqu'à la suisse, du restaurant à tacos dans le Mile-End, au resto haut de gamme du centre-ville, il y en a pour tous les goûts!
« Boulevard Saint-Laurent, un midi de semaine. On sait que plusieurs établissements bien connus ont fermé leur porte sur cette artère, mais ils sont parfois remplacés par des restaurants qui méritent une visite. C’est le cas du Sumi Dojo, un isakaya ouvert depuis un petit mois et dont le nom signifie en français « charbon » (sumi) et « bois » (dojo). »
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«On dit que les souvenirs de notre enfance sont ceux qui restent les plus vivaces en nous. Vous rappelez-vous par exemple avec émotion du pain de viande ou de la limonade maison de votre grand-mère? Eh bien, le concept de Landry & filles s’est bâti sur cet héritage et l’idée de leur nécessaire transmission. »
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« Le nom de Shinji Nagai, le chef et copropriétaire avec Jeff Stinco et Eric Lefrançois du restaurant Shinji, est depuis un an sur toutes les lèvres. Parce que c’est un bel établissement. Mais surtout parce que la cuisine de ce chef adepte du washoku, une vision prônant équilibre des ingrédients et harmonie esthétique dans les assiettes, a séduit tous les critiques et foodies qui ont eu la chance – et le portefeuille, la qualité a un prix – de goûter à ses splendides créations, qui dépassent largement la gamme des sushis et sashimis. »
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« Véritables chouchous des foodies depuis l’ouverture de leur kiosque de restauration au Marché Atwater en 2011, les Satay Brothers, c’est tout d’abord l’aventure de deux frères, Alex et Mat Winnicki, nés d'une mère singapourienne et d'un père polonais. Ils ont mis deux ans pour mettre leurs premières recettes au point et se sont ensuite entourés de jeunes aussi fonceurs qu’eux comme Philippe Chin. Très vite, leurs incroyables satays, des brochettes de poulet, de porc et de crevettes à la fois tendres, juteuses et parfumées d’un mélange d’épices, sont devenues incontournables. »
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« Alors que le sujet polémique de l’heure est celui du nombre de restaurants à Montréal, le doute ne semble pas habiter tant de restaurateurs et investisseurs que cela, puisque les ouvertures d’établissements qui n’ont rien de cantines se poursuivent de manière régulière. Avec de plus en plus souvent à la clef un concept, sinon novateur, du moins rassembleur qui attire une clientèle plus large que celle qui fréquente d’ordinaire un simple resto ou un bar. Et de l’imagination, les propriétaires Edward Zaki et Jeff Stinco n’en manquent pas. Leur Mimi la Nuit, à l’affichage très discret à l’extérieur, rend un bel hommage à la tradition noctambule et fantasque de la rue Saint-Paul Est. »
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« Quelle image nous faisons-nous au juste de la place Jacques-Cartier? Lieu symbolique du Vieux-Montréal, il est tout autant connu pour ses événements spéciaux et ses amuseurs publics, que pour une restauration soit de bas étage, soit envahie par les boules à mites. Rien de très jouissif, en tout cas. Il fallait donc un sacré culot pour ouvrir sur place un établissement visant une clientèle branchée, foodie et aux moyens supérieurs à ceux de mangeurs de hot-dogs en short. C’est pourtant ce pari fou qu’ont relevé Brahms Yaiche et Stevie B. Hamron, entre autres fondateur du Time Supper Club et au parcours dans le domaine événementiel assez impressionnant. »
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« La Flèche. Quel beau logo signé Studio Beau, tout d’abord, qui s’affiche sur les cartes d’affaires et en vitrine de ce nouveau commerce de l’avenue du Mont-Royal Est. Mais quel beau nom aussi, quand on sait qu’en dehors de symboliser une arme permettant de chasser le gibier, le Plateau était à une lointaine époque le territoire de chasse historique des riches de Westmount, ainsi que plus tard, au XIXe siècle, le centre de bagarres entre les « pieds-noirs », des ouvriers œuvrant dans les carrières du quartier, et leurs voisins immédiats les « nombrils jaunes », employés pour leur part dans des tanneries. »
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« On ne le répétera jamais assez. Côtoyer plusieurs cultures dès son plus jeune âge permet de s’ouvrir au monde et de le réinventer. C’est ce qu’a vécu Antonio Park, d’origine coréenne et qui a passé les 15 premières années de sa vie en Argentine, au Paraguay et au Brésil. « On mangeait 100% coréen à la maison le soir, mais le jour, je me nourrissais comme tous les employés de notre entreprise d’asados, ces grillades typiquement argentines. » En voici d’ailleurs la preuve en photos, tirées de l’album de famille du chef. »
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« Placé sur la rue University, en plein cœur de l’activité économique de la ville, le Léman, qui fait référence au lac bien connu, n’a pas été « déguisé » aux couleurs de la Suisse, mais les références à ce pays y sont nombreuses. Mur d’ardoise et grosses cloches pendues au plafond dans l’entrée, banquettes recouvertes de couvertures suisses (bonne idée!), photo géante du Lac Léman derrière le bar, affiches publicitaires vintage sur les murs. »
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« Les locaux du Phillips Lounge ne seront pas restés vides longtemps. L’équipe d’A5 Hospitality, qui possède déjà une quinzaine d’établissements à Montréal, a fait tomber les murs de gyproc au sol et transformé le décor défraîchi du précédent resto en un lieu très accueillant et élégant, avec un esprit contemporain et épuré, loin des clichés asiatiques. »
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« Hier soir avait lieu le lancement officiel médiatique du restaurant le Tablier Rouge, dans le quartier d'Ahuntsic. Situé directement sur la Promenade Fleury, l'établissement pourrait se qualifier comme étant le mélange parfait entre une boucherie artisanale, une épicerie fine et un burger bar. Tout est fait sur place par le chef Michael Barone, avec des aliments frais et locaux. »
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«Les projets poussent peut-être comme des champignons dans le Vieux-Montréal, mais rares sont ceux qui auraient réussi, lors d’une bonne bordée de neige, à attirer autant de monde pour un party de préouverture. Pourtant, mercredi au soir, alors que le Commerce ouvrait officiellement ses portes le 11, un nombre incalculable de personnes ont bravé le froid pour profiter de ce superbe resto-bar au design léché et original réalisé par ADR Design, qui a déjà brillé dans d’autres établissements du groupe Montréal Cuisine. »
Pour lire la critique complète. Thazard
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« Quelques jours après son ouverture par Edward Zacki, également propriétaire de Chez Victoire et de Barbounya, David Shmidt, aussi impliqué au Maïs et au Mal Nécessaire, Pierre-Olivier Besner et Christophe Jasmin, le Thazard fait déjà salle comble. Et quand on dit « comble », c’est au premier degré, car il ne reste plus un siège de libre! C’est donc dans une ambiance survoltée que nous découvrons le décor à la fois sobre et surprenant du resto, aux lignes élégantes inspirées des années 1940’s et aux dominantes d’ocre, de gris, de crème et de noir. »
Pour lire la critique complète. Cirkus
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« Petit soir de semaine sur l’avenue Laurier Est. Nous passons la porte du 1481, qui ne porte pas encore de nom, mais qui désigne le Cirkus, un tout nouveau projet ouvert depuis moins de deux semaines par Julien Joré, un chef à l’accent toulousain aussi chantant que sa fiche de route intéressante, puisqu’il a évolué à La Brunoise, au 357C, au 5e Péché, au Petit Extra et les fins de semaine à la Pâtisserie Rhubarbe, dont la magicienne Stéphanie Labelle est sa conjointe et cosigne avec lui les desserts du resto. »
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« Junior est un le nom du restaurant qu’ont ouvert, il y a moins de deux semaines, quatre amis philippins, dont les deux frères Toddy et Jojo Flores. Ici, on veut transmettre ce que la cuisine philippine de tous les jours offre de meilleur, et nous faire baigner dans cette culture multi-insulaire (plus de 7000 îles constituent le Philippines) lors de chaque visite. »
Pour lire la critique complète. Wilfrid sur Laurier
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« Michel Ross (anciennement Brunoise et Mas Cuisine), chef et copropriétaire du Wilfrid avec Zach Suhl, a toujours aimé la rue Laurier. « J’ai habité ce coin pendant sept ans et j’adorais l’ambiance qui y régnait. Ça a joué pour beaucoup dans mon choix. » Et son choix s’est porté sur La Petite Ardoise, une institution très populaire dans les années 1980’s, mais qui avait besoin d’un vent de renouveau. »
Pour lire la critique complète. Fortune
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« Quelques jours après l'ouverture de ce nouvel établissement, NIGHTLIFE.CA s'est rendu sur place pour tester une partie du menu et prendre compte du vibe de l'endroit. Pour résumer: un petit resto sans prétention avec un menu simple, mais original, où tu peux grignoter un truc rapido, ou encore partager plusieurs plats entre amis. Tacos, guédilles, grits, et plus encore! »
Pour lire la critique complète. Jack Saloon
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« Si vous aimez le rock live et la ville de Québec, vous avez sans doute déjà rendu visite au Jack Saloon de la Grande-Allée. Connu pour sa programmation musicale éclatée, son décor western étudié, mais aussi pour sa carte de petits plats à dévorer seul ou à plusieurs, le Jack a connu très rapidement un succès fou qui ne se dément toujours pas. Forts de cette réussite, les quatre partenaires des tous débuts ont décidé de propager la bonne nouvelle vers Montréal, tout d’abord en ouvrant une première succursale au Dix30, puis une seconde tout récemment dans une bâtisse ancestrale du Vieux-Montréal. »
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« L’Avenue du Parc regorge de petits bars et restos sympathiques, dont le Rodos fait partie. La vocation de ce local était déjà liée à la restauration depuis longtemps, mais l’arrivée d’une nouvelle génération aux commandes, George Efstratoudakis et sa femme Dimitra Mangafas, auprès des parents de cette dernière a dynamisé son concept. »
Lire la critique complète. GEMA
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« L’automne 2014 amène son lot de belles surprises dans le secteur des restos. Et en voici une de taille. GEMA est la seconde création de Stefano Faita et Michele Forgione dans la Petite-Italie après l’Impasto, situé juste en face. Pourquoi GEMA? Parce qu’il s’agit de l’acronyme des premières lettres des prénoms des enfants respectifs des deux partenaires. »
Pour lire la critique complète. Lea
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« On parle depuis plusieurs mois de ce nouveau projet de resto de quartier westmountais aux influences ibériques et portugaises, mais à l’approche aussi conviviale que celle prévalant au Hachoir et auGrinder. Il a pris place sur trois étages dans une bâtisse qui accueillait auparavant un café et un salon de coiffure. Il en a gardé une structure un peu exiguë, mais si bien travaillée par le designer Zébulon Perron qu’elle est à la fois intime, chaleureuse et lumineuse avec ses murs en bois aux angles ronds (belle idée!), ses couleurs chaudes allant du crème au chocolat, ses banquettes invitant au partage. »
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