Ces dernières semaines ont été chargées en ouvertures d'établissements. Chez NIGHTLIFE.CA, nos foodies font le tour de la ville chaque semaine pour découvrir et te conseiller les meilleures tables en ville. Voici donc 15 de nos dernières découvertures à essayer au plus vite!
«La carte présente un choix assez étoffé d’entrées et de plats de résistance, que viennent compléter d’agréables mises en bouche offertes aux clients, un trou normand en option et quelques desserts maison. L’approche du chef est la suivante : travailler des ingrédients simples, sans les dénaturer ni les technicaliser. Nous testons cette vision avec une entrée de saumon mariné servi avec des pommes grenade et du chou-fleur deux façons (croquant et en purée). Un plat réussi, car le saumon, gras, tendre et pas trop salin, s’accorde bien avec l’onctuosité de la purée et l’acidité des pommes grenade.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«C’est donc avec un bon cocktail Jackie Robinson (Prosecco, gin, cerise, canneberge), puis un verre de délicieux vin de la maison Tawse en main que nous attaquons notre repas avec un impressionnant plateau tournant sur deux étages, constitué d’huîtres, de moules, de crevettes géantes, d’un demi-homard, de rillettes maison et de plusieurs petits bols de sauces (mayonnaise, mignonette, etc.). Le tout est d’une fraîcheur irréprochable, parfaitement dosé, cuit, présenté. Un vrai régal et, sans l’ombre d’un doute, une des attractions centrales du restaurant.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Nous débordons à présent du menu brunch et nous voyons servir un de mes meilleurs souvenirs du jour, à savoir un bacon brioche au sucre. Plus concrètement, une base de brioche sautée au gras de bacon et recouverte d’un appareil de type tarte au sucre, avec du bacon et beaucoup de beurre. Comme le dit si bien mon voisin, « c’est une vraie cabane à sucre dans yeule! ». Et c’est vraiment très bon, alors bravo à cette belle trouvaille née de la collaboration de Danny St-Pierre et du Bacon Truck.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Un choix de nom surprenant pour ce resto, donc, mais aussi sa situation. Effectivement, inutile de le chercher dans les grandes artères, il se trouve dans une petite rue piétonne au rez-de-chaussée d’une superbe bâtisse patrimoniale historiquement plus vouée aux saints catholiques qu’aux festins païens. Toutefois, l’ancien presbytère a subi une sacrée transformation! À présent, on y trouve une très belle salle à manger lumineuse d’une quarantaine de places, qui joue sur le bois, la brique, le blanc, est à la fois élégant, intime et sobre; avec pour spectacle central le ballet des cuisiniers derrière le comptoir de la cuisine ouverte. Parfait pour une soirée en tête à tête, mais aussi en compagnie d’amis et de collègues dans un cadre calme.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Le chef aux commandes de ce nouveau venu au centre-ville, Erik Mandracchia, est un jeune montréalais de 28 ans qui a fait ses armes en Italie, mais aussi Au pied de cochon et au Bremner. De parents siciliens, il souhaite rendre hommage à ses origines à travers sa cuisine. '' Je raconte mon histoire, ici. Je fais mon marché tous les jours, j’aime les produits frais et de qualité, et j’aime la simplicité. Mais je ne voulais pas proposer comme tout le monde des spaghettis boulettes, parce que la cuisine italienne, c’est bien plus que ça.'' ». Lire la critique complète pour plus de détails.
«Au menu, de petites carottes rôties au feu, en purée et en pickles, accompagnées de bacon maison émietté. Tantôt craquantes, tantôt fondantes, avec une belle note vinaigrée. Un bon début. La morue pêchée à la ligne sous forme de gravlax avec du mizuna, des radis, des amandes et de la salicorne est délicate et fraîche, même s’il y manque une petite acidité (ou salinité) qui aurait relevé le tout. Qu’importe, l’entrée de topinambours 3 façons, bacon maison émietté et carvi est absolument succulente, une vraie explosion de saveurs et de textures en bouche.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Mais nous n’allons pas dans un restaurant à ramen pour la variété d’entrées. Nous y allons dans l’optique de trouver LE bol parfait de ramen ! Et c’est là qu’on passe aux choses sérieuses. Le toripaitan est la spécialité du Nakamichi. Ils offrent deux variations sur le toripaitan: le daku (traditionnel) et le nouveau classique. La différence entre les deux est que le bouillon du nouveau classique est plus gras, un peu moins salé, servi avec un miso épicé et le porc est remplacé par des boulettes de poulet. Le bouillon des ramens est à base d’os de poulet qui ont mijoté pendant trois heures jusqu’à l’obtention d’un liquide riche. Le bouillon du daku est gras, salé, riche et onctueux en bouche. C’est comme une soupe au poulet, mais hyper concentrée. Un des meilleurs bouillons que j’ai goûté à Montréal ! Les nouilles, minces et abondantes, offrent la résistance parfaite en bouche. Le porc contre balance très bien le côté salé du bouillon. Les champignons (kikurages) ainsi que l’huile d’ail noir apportent encore plus de profondeur au plat.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Le repas se poursuit avec deux plats que l’on retrouve sur la table d’hôte de la salle à manger. Tout d’abord, des calmars saisis (et non panés et frits, comme on le voit généralement ailleurs), servis avec un délicieux aïgo-boulido noir, de la pâte de citron Meyer, de la poudre de piment et des cœurs de sucrine. Frais, nuancé, vraiment agréable. Mais la palme revient à la noix de cerf rôtie, civet de gésiers de canard confits, salsifis et gnocchi au seigle, courge musquée et canneberges. La pièce de viande est parfaitement cuite et se mêle divinement bien aux autres éléments de l’assiette, tant en terme de textures que de saveurs. Superbes gnocchis aériens au passage, parfaits.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Tout bon izakaya se doit d'avoir un karaage et celui-ci est digne de mention ! La friture du poulet est faite de farine, de sel et de poivre. Du moins, c'est tout ce dont le chef était prêt à nous donner comme information. La panure est parfaitement croustillante et la mayonnaise au wasabi apporte un beau côté piquant au plat. À consommer sans retenue !» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Les pizzas sont originales et proposent des saveurs ultra-locales, ultra-saisonnières. Nordicité oblige, on a donc droit à une belle pizza bianca aux patates et lardons, et puis une autre aux copeaux de charcuterie bien salée et de feuilles de basilic fraîches. La croûte est un peu raide à mon goût – je la préfère plus alvéolée, craquante – mais l'ensemble fait très belle figure.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Coup de vieux, parce que l’ambiance est résolument plus accomplie. La faute, un peu moins jeune. Plus raffinée dans ses goûts et ses envies. Aux cartes, une bonne quinzaine de petits plats d’inspiration portugaise se disputent la vedette. Les quelques bouchées que j’ai eu le bonheur de goûter servent à me convaincre que le chef de cuisine, Hubert D’Arcy et l’équipe de proprios, Alexandre Wolosianski, Nicole Lemelin, Marc Bungarten et Éric Dupuis ont réussi à évoluer avec brio. » Lire la critique complète pour plus de détails.
«Mais rien n’est vraiment ordinaire quand on parle du groupe Arcade Fire, ou plus précisément de deux de ses membres, Régine Chassagne et Win Butler, amoureux dans la vie comme sur scène, associés dans ce projet à Jen Agg et Roland Jean, des restaurateurs de Toronto. À mon arrivée, le restaurant est déjà plein comme un œuf et ne désemplira pas de la soirée. Sur les tables qui m’entourent, sont servis des plats colorés à la présentation très simple, ainsi que de nombreux cocktails au rhum (bien sûr), voire tout le nécessaire pour se concocter soi-même son Ti Ponch pour deux ou dix personnes (quart, demi et bouteille complète de Barbancourt agricole au choix). C’est donc avec un cocktail du cru (bien tassé, au passage) que nous jetons un œil, mon ami et moi, à la petite carte dressée sur table voisinant la canne de lait de coco qui renferme les ustensiles et les serviettes en papier. Dépaysement une fois encore devant la version française et haïtienne des plats, que je connais mal.» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Quand j'ai vu sur le menu la gaufre au mac'n'cheese, je savais que je devais y goûter! Ça, c'est exactement le genre de franken-food que j'adore. La gaufre est craquante et savoureuse. Le mac'n'cheese est crémeux et onctueux, le fromage s'étire comme celui d’une pizza lorsqu'on sépare les sections de la gaufre. Gras et décadent!» Lire la critique complète pour plus de détails.
«Nous rentrons ensuite dans le vif du sujet avec un ceviche de dorade mariné dans de l’Orange Julep et servi avec du pesto de coriandre, une gelée de citron et des pommes grenade. Il est frais et d’une belle texture, quoique le goût du poisson soit un peu étouffé par l’acidité des autres ingrédients; de petits ajustements seront nécessaires. Par contre, l’œuf écossais au boudin, encadré de laitue amère, est vraiment divin. Œuf mollet parfait, belle couche de boudin de qualité, panure crunchy, bel équilibre avec la salade : un vrai hit!» Lire la critique complète pour plus de détails.
«La place est petite et faite sur le long. Le design, par la firme Architecture Synthèse, est très épuré, mais très bien fait. Le chef Hachi du restaurant Thazard aide présentement à l'élaboration du menu. L’accent est sur les plats rapides pour le lunch. Il y a une section prêt à apporter qui contient des sushis et des salades. La section chaude se concentre présentement sur les donburis et une version plat des donburis. Un donburi consiste en une bonne portion de riz sur laquelle on dépose un ingrédient de notre choix. Au moment de notre passage, il y avait quatre choix : poulet teriyaki, poulet frit, crevette tempura et légumes tempura. La version plat ajoute une salade au tout.» Lire la critique complète pour plus de détails.