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22 films à voir au cinéma en juillet
Crédit: youtube.com
Pas nécessairement obliger de s’enfermer pour profiter du cinéma en été. Évidemment, le côté salle t’offre une brochette de divertissements de qualités et si tu veux pousser le divertissement à ses limites, t’as même la suite de Père en Flic et un film qui porte sur la vie documentée des emojis. Les blockbusters survolés, tu peux te rendre dans un parc pas loin de chez toi pour une soirée cinéma en plein air. La qualité de la programmation extérieure te permet de passer de la comédie légère au documentaire engagé, c’est pas rien, c’est gratuit, reste juste à toi à te décider d’en profiter ou non.
 

Spider-Man : Homecoming – 7 juillet

Spiderman s’offre une cure de jeunesse, Tom Holland montre la porte à Andrew Garfield et s’occupe d’incarner la désinvolture de l’héros aux collants rouges et bleus. L’homme-araignée en pleine construction d’identité, travaille à s’émanciper et tient à prouver à son mentor (Sir Iron Man) et à la population en générale, qu’il est capable de les sauver des super menaces – le vilain ici, une sorte d’oiseau mécanique à la force surhumaine, Vulture, incarnée par un Michael Keaton qui semble faire un sourire en coin à l’oiseau super-héros de son Birdman passé. Le nouveau volet de la star Spidey dirigé par Jon Watts (Cop Car).
 

The Big Sick – 7 juillet

Comédie de moeurs, qui puise dans le fossé des différences pour montrer comment tous un chacun peuvent finir par s’entendre là où, parfois l’ignorance de l’autre peut brouiller une vision claire de la réalité. Histoire d’amour multi-culturelle, histoire vraie (scénarisée par les vrais de la vraie vie inspirée – Kumail Nanjiani y va même à interpréter son rôle à l’écran), apprendre à se connaître en début d’amour avec tout ce que ça implique. Kumail et Emily  (Zoe Kazon) s’aiment, mais la religion et les valeurs familiales viendront s’interposer, jusqu’à prendre trop de place. Trouver des solutions au lieu de perpétrer les mêmes interrogations. Michael Showalter réalise le film et à notre grand regret, U2 chante sur la bande-annonce. 

War for the Planet of the Apes – 14 juillet

La perte des siens a su alimenter une recherche de justice par la vengeance chez un Caesar blessé, au coeur d’avoir trop pleuré. Les humains doivent payer le prix du sang qu’ils ont fait couler. C’est le début de la fin pour la race humaine qui a couru d’elle-même à sa perte. Les singes se révoltent, la guerre éclate. Matt Reeves, au parcours pas piqué des vers (Cloverfiel, Let Me In), en charge du projet).    

Rue de la Victoire – 14 juillet 

Mohamed Dhiaa Garbi vit une passion, le cirque. Tunisien d’origine, imprégné des tensions d’un climat politique et social fragiles, il ressent l’appel de l’ailleurs pour mener à bout son rêve de circassien. Premier documentaire pour Frédérique Cournoyer Lessard, qui suit le parcours de Mohammed vers son émancipation à devenir l’homme qu’il veut devenir. 

Weirdos – 14 juillet

 

Film canadien qui fait dans l’indie rose-bonbon genre road-trip à l’adolescence, qui transporte ses protagonistes jusqu’en Nouvelle-Écosse. Exploration d’amour, de sexe, Andy Warhol en ami imaginaire. En noir et blanc, 1976, réalisé par Bruce McDonald. 

Dunkirk – 21 juillet

 
Christopher Nolan (Interstellar, les derniers Batman) se tape son premier film de guerre en territoire français sur le point de se faire envahir par les forces allemandes, deuxième guerre mondiale. Ça sent le grandiose. Tom Hardy dans les airs, Cillian Murphy sur l’eau, Aneurin Barnard sur terre et Harry Styles quelque part sur la liste du casting.

Ma Loute – 21 juillet

Les tribulations, du parfois irritant Fabrice Luchini, acteur avec un grand A, qui se retrouve filmé par le plus qu’honorable Bruno Dumont (L'Humanité), avec à ses côtés Juliette Binoche, Valeria Bruni Tedeschi. Le réalisateur-philosophe délaisse à nouveau les questions humaines aux grands fondements pour continuer d’explorer la comédie, non pas sans critique sociale. Le burlesque en mode opposition des classes sociales qui se côtoient le temps d’un été, quand les riches bourgeois descendent voir le pittoresque du pays. Les amours imprévues s’ajouteront aux chambardements estivaux.      
 

Valerian and the City of a Thousand Planets – 21 juillet

 
Luc Besson a appris à nous laisser un peu indifférents sur son travail – The Fifth Element, ça fait déjà 20 ans et son plus récent Lucy, se permet un trip sur le contrôle de l’intellect qui pousse tellement loin qu’il devient risible. Mais bon, laisser la chance aux coureurs. Grandiose, 3D hallucinant, trip de science-fiction, histoire de planètes en symbiose qu’un élément étranger fera tout démolir l’écosystème parfais. Cara Delevigne en guerrière, Dane DeHaan en guerrier et Rihanna pour incarner Bubble.   

Lady Macbeth – 28 juillet

19e siècle, Katherine se fait marier de force à un riche héritier qui ne lui veut pas de bien. Le marié en escapade à l’extérieur de la mansion, Katherine découvrira les plaisirs de la chair érotique et l’intensité d’une passion avec un domestique de la maison. L’amour rend aveugle et Katherine en désir d’amour, se refusera à la position de soumission que lui a imposé son mari. Le travail d’une femme pour se libérer de ceux qui la retiennent sans son consentement. La liberté de l’amour à tout  prix. Début prometteur pour le réalisateur William Oldroyd, début prometteur pour Florence Pugh qui incarne la mariée. 

Landline – 28 juillet

Un deuxième film pour la réalisatrice du drôle Obvious Child, qui retrouve sa protagoniste Jenny Slate. La famille vue de l’intérieur et toutes les vérités qui peuvent en découler. Des relations amoureuses mal entretenues, le pot au rose de l’adultère découvert et la plus jeune de la famille qui ne se tanne pas d’expérimenter. Toute cette comédie se passe dans une ère post globalisation de l’internet, 1995. 

HORS SÉRIE

Minuit au Parc / Cinéma du Parc :

Stop Making Sense – 7, 8, 9 juillet 

The Big Lobowski – 14, 15, 16 juillet 

Taxi Driver – 21, 22, 23 juillet

Blue Velvet – 28, 29, 30 juillet

Centre Phi

Close Encounters of the Third Kind – 12 juillet 

Cinémathèque Québécoise

20 x 5 : 20 réalisateurs, cinq films par réalisateur. Jusqu’au 29 août. Voit ou revoit tes classiques.

!!!!!!Ciné-Parc dans un parc!!!!!!

Pour la Suite du Monde – 8 juillet Place de Castelneau 

Juste la Fin du Monde – 11 juillet Théâtre de la Verdure 

Angry Inuk – 18 juillet Parc Saint-Gabriel + 24 juillet Parc des Faubourgs 

Awake, A Dream from Standing Rock – 25 juillet Parc Saint-Gabriel 

Tuktuq – 25 juillet Théâtre de la Verdure 

Spaceballs – 31 juillet Place de la Paix 

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