COVID-19: L’argent comptant ne présenterait pas de risque de contracter le virus

 
De plus, toujours selon l’ACTS, «l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme qu’aucune preuve ne confirme ou n’infirme que le virus de la COVID-19 peut être transmis par les pièces de monnaie ou les billets de banque. Cependant, les gouttelettes respiratoires expulsées par une personne infectée peuvent contaminer les surfaces et y rester. L’OMS recommande de se laver les mains régulièrement et vigoureusement après être entré en contact avec une surface ou un objet touché fréquemment, y compris les pièces de monnaie et les billets de banque. Elle ajoute également qu’il faut éviter de toucher ses yeux, sa bouche et son nez avant d’avoir nettoyé ses mains.»
 
Ainsi, non seulement la manipulation de l’argent comptant présenterait un faible risque de contracter la COVID-19, mais l’on doit également se rappeler que ce mode de paiement est crucial pour de nombreux-ses Canadien.ne.s qui en dépendent au quotidien. Bon nombre de citoyen.ne.s les utilisent pour se procurer des biens et des services essentiels: les priver de cette méthode de paiement les pénalise donc énormément. Parmi eux et elles, les personnes plus vulnérables n’ayant pas accès au crédit, de nombreux jeunes ne possédant pas de compte bancaire, plusieurs personnes âgées, des non-voyant.e.s, et encore.
 
En prenant toutes ces informations en compte, on vient à se demander: devrions nous accepter l’argent comptant partout?
 
Le refus de ce mode de paiement signifierait-il un refus d’obtempérer de la part des entreprises?
 
Comme quoi bien des choses sont encore à redéfinir pour le Québec d’après-crise!

[spacer title= »Se protéger de plusieurs façons: »]