Après Reitmans, Aldo et Sail, c’est au tour de Frank And Oak de se placer à l’abri de ses créanciers. Malgré la popularité de du magasin, autant en ligne que sur place, la compagnie souffre financièrement…
Le 22 juin, l’entreprise québécoise Modasuite, qui est la compagnie légale de l’enseigne Frank And Oak, s’est mise sous la Loi sur la faillite et l’insolvabilité avec l’intention de faire une proposition à ses créanciers. Ses dettes s’élèvent à 19 millions $.
Frank And Oak est notamment connu pour faire des vêtements épurés, fait pour la vie de tous les jours, autant pour hommes que pour femmes. L’entreprise possède 20 boutiques un peu partout à travers le Canada, mais est surtout reconnue pour son expertise sur le web. Malgré sa popularité aux États-Unis, aucune boutique ne s’y trouve.
Pour l’instant, il n’est pas possible de savoir combien de boutiques fermeront leur porte et combien d’employé.e.s seront malheureusement renvoyé.e.s…
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Aldo veut éviter la faillite et se place à l’abri de ses créanciers