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Un nouveau restaurant à Montréal pour l’ancien chef du Mousso!
Crédit: Massimo Piedimonte et Susan Moss

Massimo Piedimonte, ancien chef du populaire restaurant montréalais Mousso, annonçait récemment l’ouverture imminente de son propre établissement: le Cabaret l’enfer, un restaurant et bar à vin « sur mesure ».

 

En attendant l’ouverture officielle, prévue au printemps 2021, le chef Piedimonte dévoilait en entrevue avec TimeOut quelques détails quant au futur Cabaret l’enfer.

 

Ayant travaillé aux côtés du chef Antonin Mousso-Rivard (propriétaire du Mousso) pendant plusieurs années dans la cuisine du Mousso, Massimo peut partir « voler de ses propres ailes » avec l’assurance d’avoir toutes les connaissances et le talent requis pour entreprendre ce nouveau projet.

 

 

Le Cabaret l’enfer sera ainsi un clin d’œil à « l’un des cabarets les plus fous de l’histoire de Paris », où l’art, la créativité et l’hospitalité règnent et se transmettent dans l’ambiance que dans la nourriture.

 

Malgré que nous n’ayons que peu de détails quant au menu et à l’adresse exacte, on sait que le restaurant sera étalé sur deux étages.

 

 

Au rez-de-chaussée: bar à vin avec quelques items formule collation (drinking snacks, comme on dirait en anglais) comme de la burrata, du pain plat, des charcuteries, des légumes et plusieurs fermentations.

 

Au sous-sol: expérience gastronomique « unique et intime », où seulement 10 à 12 invités pourront y manger à la fois. L’emphase sera donc mise sur le service client, les préparations rapides et les produits du terroir.

 

 

« Puisque je vais accueillir qu’une dizaine de personnes par soir, cela me permettra de servir des produits sauvages rares, d’une fraîcheur impeccable et en minimisant mon empreinte écologique », précise Piedimonte à TimeOut.

 

Finalement, le chef désire que le vin soit à l’honneur du côté du rez-de-chaussée. Il confie donc la tâche à Raphaëlle Bérubé (Mousso, Candide) de développer une carte des vins exceptionnelle, composée en grande partie de vins nature et de produits de petits producteurs.

 

« Je ne veux pas créer un restaurant trendy; je veux que Cabaret l’enfer soit un restaurant intemporel, un peu “underground”, à la limite “rough”. Que dans 25 ans, si Dieu le veut, mes enfants prennent la relève ! » déclare Massimo.

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