Découvrez myfilmfriend, une plateforme de lecture en continu qui s’adresse à un public varié, que vous soyez passionné de cinéma ou simplement en quête d’une alternative cinématographique diversifiée.

L’heure du conte, un doux moment à partager en famille et entre ami(es). La lecture est suivie d’un bricolage ou d’une activité ludique. Tous les samedis à la bibliothèque Lisette-Morin et un samedi par mois dans les quartiers.

Activité amusante et gratuite pour les enfants de 12 à 36 mois à la bibliothèque.

Michèle Tremblay raconte des belles histoires qui se prolongent par un jeu ou un bricolage.

Heure du conte pour les familles à la bibliothèque Jacqueline-De Repentigny à Verdun.

Heure du conte. Mensuelle. Bibliothécaire. Bibliothèque Mordecai-Richler.

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Festival interculturel du conte de Montréal – « Dans le coffre des Filles du Roy » 🎭 Dans le coffre des filles du Roy 📖 Spectacle conté – Salle des Métayères Dans le coffre des filles du Roy, il y avait mille épingles, cent aiguilles, quatre lacets, un mouchoir, un bonnet, deux couteaux, un ciseau. Puis, elles y ont déposé leurs savoirs et moult histoires. Des contes issus des vieux continents qui se sont répandus par-delà les campagnes, les forêts sauvages jusqu’au royaume du Saguenay. Avec leur coffre sous le bras, ces filles ont foulé le pays pour suivre leur mari et ont laissé leurs empreintes sur les rives d’une île royale. 📅 Durée : environ 60 minutes 👥 Public : 12 ans et plus 🎟️ Nombre de participants : 60 💰 Prix du billet : 10 $ 📍 Lieu : Salle des Métayères À propos de Nadine Walsh Nadine foule les planches depuis plus de 30 ans. Interprète reconnue pour sa forte présence et chercheuse acharnée, elle use de son corps autant que de sa voix pour propulser ses créations et retransmettre des histoires archaïques, reflets de l’humanité depuis la nuit des temps. Chaque spectacle se distingue par une forme singulière qui questionne sa relation avec le public et avec l’histoire. « Avec elle, le conte devient une parole incarnée. » Élisabeth Haas, journal La Liberté, Fribourg, Suisse. Récipiendaire du Grand prix de l’Académie Charles Cros à Paris pour son CD-livre Sacré chœur de Gilgamesh en 2020, elle a gagné aussi le Hibou d’or pour le même spectacle et le prix Jocelyn Bérubé pour l’ensemble de sa carrière de conteuse. Nadine conte pour résister à l’endormissement, à l’ignorance, au conformisme, au désenchantement, à la mort. Parce que pour elle, conter, c’est partager un instant d’éternité.

Un spectacle de Boubacar Ndiaye (Sénégal) présenté avec la collaboration du Festival interculturel du conte de Montréal (FICM). Voyage sans visa nous fait voyager de Saint-Louis jusqu’à Tivaouane à la rencontre des Arts de la parole, de la famille et de la Teranga Sénégalaise. Avec ce spectacle, Boubacar parle de la souffrance de ces familles, de ces femmes qui attendent leurs maris, leurs enfants partis depuis des années. Le griot questionne la place du bonheur, de la réussite de ces immigrés qui, pour certains, prennent la pirogue au péril de leur vie. Il nous invite à une prise de conscience de ce que peut engendrer l’exil et le fait de quitter sa terre natale : partir mais pas mourir. Griot du Sénégal, Boubacar Ndiaye est l’un des rares conteurs africains de formation traditionnelle qui allie la tradition et la modernité pour en faire une seule voix. Depuis une dizaine d’année, Boubacar parcourt la France et ben d’autres pays avec ses histoires rythmées de chants, de danses et de musiques.

« Tous les matins, ma mère me racontait ses rêves… Ses récits, à vous couper le souffle, étaient un savant mélange entre sa Kabylie natale et sa condition de femme de ménage, le tout servi par les acteurs américains du feuilleton qu’elle avait vu la veille à la télé. J’étais face à elle comme devant un écran de la Métro Goldwyn Meyer. Et ça me mettait en retard pour l’école. » C’est une véritable épopée dans laquelle nous embarque Rachid Bouali. Une épopée des « petites gens », construite comme un film où il multiplie zooms et travellings, bouscule les plans, croise les époques et les décors et nous déroule le petit monde de sa mère : son canapé vert, son buffet de style élisabéthain de chez Conforama, sa découverte des théories de Dolto et le jour où elle a vu John Wayne pour la première fois. Avec « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne », Rachid Bouali rend à sa maman un hommage d’une tendresse et d’une justesse magnifiques. À travers elle, il salue aussi toutes les mères du monde et nous raconte avec humour, poésie et beaucoup d’émotion, une histoire aussi intime qu’universelle.