Des fois, j’aime aimer ce que je ne comprends pas. Je ne comprends pas exactement où Jean-Sébastien Massicotte-Rousseau voulait amener son album et j’aime ça. Les collages sonores se rapprochent du hip-hop jusqu’à ce qu’arrivent des extraits de monologues du Père Gédéon, de Gilles Vigneault et de Gilbert Bécaud qui se répondent. Le reste se promène entre les beats jazzy rappelant les Beat Konducta de Madlib ou ce qui pourrait être la trame sonore de l’ascenseur du hip-hop. L’album est offert gratuitement sur le web et un deuxième est déjà en préparation. C’est deux bonnes nouvelles.