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Critiques CD: Rick Ross | God Forgives, I Don’t

Faut croire que les problèmes de santé (quelques petites crises cardiaques) du boss de Miami ne l’ont pas trop changé. Sur son cinquième album, Rozay continue de décrire un mode de vie où se relaient drogue, femmes et argent, sur des beats qui ont la subtilité d’une trame sonore de John Williams. Tout est gros chez Ross. Grosses chansons, mais aussi gros invités: Drake, Usher, Jay-Z, Andre 3000… Il réussit même à faire prendre une pause de son Detox à Dr. Dre. Le boss devrait d’ailleurs faire attention à qui il invite parce que, malgré sa bonne forme, certains invités réussissent à lui voler facilement la vedette.