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COVID-19: Georges Laraque décrit le virus comme «la pire chose» à vivre!
Crédit: Georges Laraque via Instagram (@georges_laraque)

Selon le site officiel de la LNH (Ligue Nationale de Hockey), l’ancien joueur des Canadiens de Montréal, Georges Laraque, terminait tout juste son séjour à l’hôpital Charles-Le Moyne, après avoir obtenu son autorisation de sortie hier, 5 mai 2020.

 

 

Il y aurait été admis jeudi dernier, alors qu’il recevait son diagnostic de la COVID-19 (coronavirus), virus auquel il avait été testé positif — comme on pouvait le lire sous sa publication Instagram, publiée juste après qu’il en ait reçu l’annonce.

 

Malgré son mode de vie sain et actif et sa forme très bonne physique (d’ailleurs probablement meilleure que la majorité d’entre nous), Laraque se retrouvait tout de même dans le bassin des personnes à risques de subir de graves complications du virus, expliquant qu’il ne s’agissait «pas [de] la meilleure nouvelle, étant donné qu’[il est] asthmatique».

 

 

«J’ai encore du chemin à faire dans ma récupération, mais au moins je peux la faire à la maison», indiquait-il à LNH.com par message texte hier.

 

En entrevue pour CBC, il ajoutait: «J’ai une tonne de consignes à suivre, des choses que je faisais à l’hôpital que je peux faire moi-même à la maison, mais évidemment je dois rester en confinement.»

 

Selon l’article publié par la LNH, le vétéran de la ligue décrivait la maladie comme «la pire chose à vivre». Il aurait aussi précisé avoir souffert d’une pneumonie et avoir éprouvé des difficultés respiratoires lors de son hospitalisation. Il aurait aussi expérimenté plusieurs autres symptômes, dont une forte fièvre, des frissons, des maux de tête persistants et une énorme baisse d’énergie.

 

«Je prends des médicaments pour la fièvre et je reçois des injections pour m’aider avec les maux de tête. C’est fou parce que je courais six fois par semaine, 10 kilomètres par jour en préparation pour un marathon; j’ai fait ça pendant des mois.» Déclarait-il samedi dernier.

 

Comme quoi personne, même les plus en santé de nous, n’est à l’abri du virus!

 

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