Cette année, Plein(s) Écran(s) est fier de présenter sa toute nouvelle section Les Insomniaque(s), pour les tous les oiseaux de nuit et les amateurs de cinéma un peu plus sombre et parfois même troublant.
Au cas où vous ne connaîtriez pas déjà le populaire festival québécois Plein(s) Écran(s), en voici les grandes lignes: « Plein(s) Écran(s) (FPE) est le premier festival de cinéma se déroulant entièrement sur Facebook », présentant cette année près d’une soixantaine de courts-métrages entre les 13 et 25 janvier 2021.
Pour cette cinquième édition, le festival propose la section Les Insomniaque(s) dans le but de « laisser plus de place au film de genre et à un public averti ».
Tandis que la sélection du FPE pour la compétition québécoise est très pointilleuse et limitée (parce qu’ils ne peuvent malheureusement pas TOUT présenter!), le programmateur de l’événement virtuel, Paul Landriau, trouvait qu’il devait trop souvent couper des films qu’il avait adorés « pour garder l’équilibre entre les émotions, les genres, les sujets ».
De là est née la nouvelle section, Les Insomniaque(s), soit « [son] petit laboratoire personnel », afin de lui rendre hommage et le remercier comme il se doit, tandis qu’il quitte cette année Plein(s) Écran(s) pour devenir le directeur de la programmation des RVQC (Festival Les Rendez-vous Québec Cinéma).
Cette section, c’est en quelque sorte « une salle de projection privée pour les cinéphiles noctambules où tout est possible [où vous retrouverez] une sélection éclectique d’œuvres puissantes et libres ». Pour un public averti seulement!
SECTION INSOMNIAQUE(S) | DÉVOILEMENT!
NOUVELLE SECTION INSOMNIAQUE(S) 🌚Tu as mieux à faire que dormir? Des fois mettons? Tous les jours du festival, après 23h00, on te proposera une sélection de films audacieux, épeurants, bizzares mais toujours extra bon.On en profite pour saluer notre nouveau partenaire média Nightlife.ca qui lui aussi aime ça la vie de nuit! 🌙C'est notre Paul Landriau national qui marque le coup de sa dernière année avec cette idée :"Insomniaque(s) c’est mon petit laboratoire personnel. Une salle de projection privée pour les cinéphiles noctambules où tout est possible. Une sélection éclectique d’œuvres puissantes et libres. Amusez-vous !"Pour donner le ton, on vous montre un extrait du court métrage L'ÉTREINTE DES VALKYRIES un film d'ALAN LAKE qui ouvrira cette section le mercredi 13 janvier, premier jour du festival!Vive Pleins Écrans libre! 💫Du 13 au 25 janvier 2021 prochain.Abonne-toi à notre page pour ne rien manquer, même la nuit!
Posted by Pleins Écrans on Tuesday, December 15, 2020
Vous retrouverez dans cette nouvelle sélection 11 films au total, allant du film très expérimental d’horreur, comme le film de danse contemporaine angoissant L’étreinte des Valkyries (présenté le 13 janvier), à des films complètement humoristique et gore, tel que Xtermination (présenté le 14 janvier), ou encore des fictions très complètes comme Yandere (présenté le 23 janvier).
À noter que les films de la section, bien que disponibles seulement de 23h à 7h le matin, sont tout de même éligibles au prix du public — concours organisé par le festival pour honorer les films ayant amassé le plus de votes (1 partage Facebook = 1 vote).
Pour plus de détails et pour la programmation complète du festival, rendez-vous sur le site Web de Plein(s) Écran(s).
Plein(s) Écran(s) est un organisme de diffusion principalement en ligne et en salle dont la mission est la découvrabilité et démocratisation du court métrage en le rendant accessible auprès du plus grand public dans le but d’éduquer, de sensibiliser et de divertir par le cinéma. Plein(s) écran(s) fait la promotion à l’année des talents du court métrage québécois afin de le faire rayonner au Québec, en région et à l’international.
Notre singularité est que nous sommes le premier festival au monde à avoir adopté un tel modèle et que notre identité numérique est inscrite à 100% dans notre ADN. Pour nous, incarner un festival en ligne n’est pas une solution à un problème de diffusion, mais avant tout un réel moyen d’exister. Cette particularité permet au public d’interagir avec les films et les artisan.e.s malgré les frontières physiques qui les séparent de l’offre culturelle