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«HOW COME MY BODY»: La nouvelle chanson du trio montréalais Half Moon Run! [VIDÉO]
Crédit: gracieuseté Half Moon Run

En mai dernier, le band montréalais Half Moon Run — connu de plusieurs et tête d’affiche des éditions de 2014 et 2016 du festival Osheaga — faisait la triste annonce que l’un de ses membres, Isaac Symonds, quittait définitivement le groupe pour se lancer dans de nouvelles aventures.

 

 

Depuis, le band a repris du vent dans les voiles et a été décoré d’une récente nomination aux prix JUNO (pour le prix Groupe de l’année 2021) et continue de jouer et diffuser sa musique, notamment grâce à leur série de lives de confinement, qui remontent le moral et rehaussent l’ambiance chez tous les Québécois.

 

 

Après quelques mois sans nouveaux titres, le trio dévoilait enfin aujourd’hui une nouvelle pièce intitulée How Come My Body, accompagnée d’un nouveau vidéoclip.

 

 

Réalisé par un de leurs amis, Sacha Roy, le vidéoclip nous rappelle « l’indéniable magie qui émane des concerts de Half Moon Run », et l’ambiance qui s’y rattache — amenant en chacun de nous un brin de nostalgie en ces temps de confinement.

 

Cette chanson nous ramène une fois de plus à l’essence de leur musique: des mélodies au son un peu folk et indie, avec des paroles qui nous font vivre toutes sortes d’émotions.

 

 

Nés entre deux révolutions, Conner Molander et Dylan Phillips (originaires de Colombie-Britannique) ont rencontré Devon Portielje, un expatrié d’Ottawa, dans le Mile-End, à Montréal. De cette rencontre est né le groupe Half Moon Run, qui en a beaucoup accompli et réalisé au cours de ses dix années d’existence: trois albums, un disque d’or, un disque platine, trois Félix, un prix JUNO et plus de 600 concerts.

 

« Half Moon Run a forgé un son singulier qui va au-delà du passé et de l’avenir, vers le domaine de l’intemporel. Le groupe est maintenant une référence, une inspiration. Que ce soit pour leurs harmonies pop, leurs hymnes indies, leurs influences psy-rock ou leurs touchent néo-classiques, les fans sont conquis et ne démordent pas. Les réactions physiques et émotionnelles des auditeurs sont toujours les mêmes: les battements de cœur qui s’accélèrent, la chair de poule qui s’élève, les orbites qui se remplissent », exprimait De La Létourneau, l’agence de presse en charge de l’image du band, dans un communiqué.